dimanche 16 mai 2010

Mystère

Débris d' heures,
De questions muettes
Qui laisse l'âme nauséeuse

Envie
D'une page qui soit lumière

L'Autre rencontré
Acteur de ses mots
Restera peut-être muet.


En pensant à:

5 commentaires:

Mandi a dit…

Bonsoir Kiat, tu as dis: " Envie D'une page qui soit lumière"
cela m'inspire:
laisser le stylo être le prolongement de soi, gribouiller si l'on en a envie,dépasser si l'on en a envie, rester dans le cadre si l'on en a envie
laisser cette page blanche, pendant des année s'il le faut,se permettre de déchirer la page, ou de la garder intacte,
la rouler en boule, ou la lisser,se permettre de laisser cette page,à un certain endroit, d'y revenir lorsqu'on en a envie, de la jeter si l'on veut
se laisser imprégner du soleil,de la pluie, du vent, et ressentir son corps, l'air frais, les gouttes de pluie, le soleil, ressentir si l'on aime ou pas.
mettre la musique fort, ressentir les vibrations que cela produit sur le corps, ne pas mettre de musique, ressentir l'absence de vibrations sur le corps.
Le silence ponctue la musique, les bruits, les sons, cela alterne, pianissimo, puis Double Forte puis silence puis Forte.
laisser le stylo être le prolongement se soi, si l'on en a envie.

Anonyme a dit…

Zafon me donne envie de commenter.Ce livre m'a laissé plein d'impressions.L'envie de connaître la bibliothèque des livres oubliés.Imaginer ces hommes, ces femmes,dans la tourmente de la guerre civile. Et pourtant, Espagne,que tu est belle. que ce soit le nord,le sud.Les passions terribles et belles aussi. Trés beau livre,qui laisse une impression indéfinissable de joie,et de chagrin. JEF

Anonyme a dit…

Ce livre m'a laissé plein d'impressions!! l'envie de connaître la bibliothèque des livres oubliés. Imaginer ces hommes ces femmes dans la tourmente de la guerre civile.Et pourtant,Espagne,que tu est belle ,du nord au sud.Les passions teribles ,mais belles aussi,qui laisse une imptession indéfinissable,de joie et de chagrin. JEFs

Anonyme a dit…

Beauté de l'eau, beauté de la fontaine, voile d'eau qui tombe, rafraichissement de l'été, beauté de notre terre, laurier rose derrière les voiles blancs, que c'est beau, comme les belles photos peuvent faire réver !

Anonyme a dit…

Zafon me donne envie de commenter.
Ce livre m'a laissé pleins d'impressions : l'envie de connaître la bibilothèque des livres oubliés et
d'imaginer ces hommes, ces femmes, dans la tourmente de la guerre civile.
Et pourtant, Espagne, que tu es belle du nord au sud, avec tes passions terribles et belles aussi !

Trés beau livre qui laisse une impression indéfinissable de joie et de chagrin.

Jef.