Dans une aube froissée
Tu clos serré ton regard
Mais au profond du noir tu vois
Toujours tu vois
Les explosions
L'éclatement des rêves
Tu vois les gravas les chaos
Les déchirures des murs
Les empilements troués de mort
Et le vide
Le vide au coeur de la ville
Dans ton noir tu vois
Et tu entends l'effroyable silence
Les dos écrasés l'humain explosé
Et toujours tu l'entends
Le vide silence de la peur
Au même instant
Sous l'or au firmament d'une nuit soyeuse
J'ouvre intense mon regard
Avide d'emplir mes yeux
De la voilure frémissante des feuilles
La lune caresse la rondeur des tuiles
J'entends le murmure des rêves
Et les cigales endormies
J'écoute tout du silence
De la plénitude de la nuit
Ainsi nous sommes
Au même instant
Sur la même terre
Et tu entends l'effroyable silence
Les dos écrasés l'humain explosé
Et toujours tu l'entends
Le vide silence de la peur
Au même instant
Sous l'or au firmament d'une nuit soyeuse
J'ouvre intense mon regard
Avide d'emplir mes yeux
De la voilure frémissante des feuilles
La lune caresse la rondeur des tuiles
J'entends le murmure des rêves
Et les cigales endormies
J'écoute tout du silence
De la plénitude de la nuit
Ainsi nous sommes
Au même instant
Sur la même terre
Kiat 2014
2 commentaires:
Très belle photo accompagné d'un joli poème qui colle à l'image
Michèle
La photo me rappelle un coucher de soleil au Nunavut (Nord du Canada). Mais il n'y avait que de la sérénité et pas de peur bien que la banquise soit en train d'essayer de nous enfermer.
Continuez.
Michelka
Enregistrer un commentaire